Honte à toi, vilaine giboulée,
Qui, par un après-midi d’avril,
M’as copieusement arrosé
Sur le célèbre chemin de l’île.
Tôt, le soleil brillait ardemment,
L’horizon en était irisé,
Laissant l’eau miroiter joliment,
La Loire et ses hérons médusés.
Honte à toi, vile pluie printanière,
Qui fais fuir oiseaux et promeneurs,
Ta bruine n’est pas hospitalière,
Qui m’a transi de froid tout à l’heure.
Qui, par un après-midi d’avril,
M’as copieusement arrosé
Sur le célèbre chemin de l’île.
Tôt, le soleil brillait ardemment,
L’horizon en était irisé,
Laissant l’eau miroiter joliment,
La Loire et ses hérons médusés.
Honte à toi, vile pluie printanière,
Qui fais fuir oiseaux et promeneurs,
Ta bruine n’est pas hospitalière,
Qui m’a transi de froid tout à l’heure.
jolie plume...
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